L’ACRV reconnaît que nous sommes en Mi’kma’ki, le territoire ancestral non cédé du peuple micmac. Ce territoire est visé par les « traités de paix et d’amitié » que les Micmacs, les Wolastoqiyik (Malécites) et les Passamaquoddys ont d’abord conclus avec la Couronne britannique en 1726. Les traités en question ne comportaient pas de clause relative à la cession des terres et des ressources, mais reconnaissaient de fait le titre des Micmacs et des Wolastoqiyiks (Malécites) et définissaient les règles quant à ce qui devait être des relations durables entre les nations.